Les grenouilles rieuses. Epilogue.

Même les oies, incorrigibles chiennes de garde aboyeuses de jour comme de nuit, semblent être occupées (à materner?) au point d’enfin la boucler. Et le silence devient quasi pesant, comme le calme inquiétant avant l’orage. Je me surprends à guetter un bruit, insomnie quand tu nous tiens!

Enfin...

Oui...

Presque!

Période de fenaison.

Plusieurs voisins fermiers, que j’adore, et me voilà rassurée, il y a toujours de l’animation! Dans un cliquetis assourdissant, un tracteur suivi de sa remorque et sans doute piloté par un ado en vacances amateur de vitesse, me rappelle que je vis, pour mon plus grand plaisir, à la campagne.

Ca passe et repasse et entre les coups, devinez quoi? Les scouts du camp d’à côté font leur jeu de nuit! C’est quand même mieux que les Klaxons de voitures et autres excès citadins!

PS : pour se rendre compte du bruit des grenouilles rieuses http://www.youtube.com/watch?v=EfzEJq0XNqI